|  Sujet: Tenessee Diana Jordan - Un ange parmi les hommes  Sam 6 Aoû - 22:43 | |
| Tenessee Diana Jordan
“ feat. Gemma Arterton Introduction, ici tu peux mettre des paroles des chansons ou une citation qui colle à ton personnage.
| I N T R O D U C T I O N “ Surnoms : Ten or See “ Âge : 17 ans“ Date de Naissance : 17 Janvier 1994“ Lieu de Naissance : Chicago“ Nationalité : Américain“ Origines : Américaines“ Orientation Sexuelle : Hétéro“ Statut Social : En couple“ Groupes : Lycéene“ Emploi : / |
H I S T O I R E
“ CITATION. Ma mère me disait toujours que les hommes étaient guidés que par deux choses: l'argent, ou l'amour. Pour ma part j'étais guidée par mon rêve, jusqu'à ce que je le rencontre, et qu'il devienne mon nouveau rêve.
Je suis née au coeur de la Big Apple, il y a 17 années de ça. Ma mère vivait seule, dans un appartement miteux à côté des quartiers chaud, mon père l'avait quitté après qu'elle lui ai annoncé la nouvelle de ma venue. Je ne l'ai donc jamais connu, mais il ne m'a jamais manqué, et je n'ai jamais voulut le retrouver. Maman et moi avons vécut de très belles années ensembles, je l'aimais et elle m'aimait tout autant, nous étions très heureuse ensembles, malgré le fait que nous habitions dans une banlieue miteuse, j'avais tout ce dont j'avais besoin: une maman aimante, un foyer, de quoi m'habiller et me nourrir. Nous avions une vie très simple, et ça me suffisait. J'allais à l'école toute seule à partir de mes neuf ans, maman m'accompagnait jusqu'à la sortie du quartier car elle s'inquiétait tout le temps pour moi. Mais moi je n'avais pas peur, car ma mère m'avait appris beaucoup de choses sur le monde depuis ma naissance. Elle m'avait dit qu'il fallait être forte, et ne pas se laisser rabattre par quelqu'un ou quelque chose, elle m'avait aussi dit de toujours être gentille avec les autres, même si ceux-ci n'étaient pas respectueux ou aimables, parce qu'il avait certainement une raison d'agir ainsi. Elle m'avait aussi dit que si je restais en dehors des histoires des autres, tout irait bien pour moi. J'avais atteint mon quatorzième anniversaire et elle avait eu raison jusque là, j'étais devenue l'amie du peuple, la gentille fille qui était toujours là quand on avait besoin d'aide, et celle qui n'était jamais triste. Mais à 14 ans et au fil des années, j'étais aussi devenue belle, et ma mère n'était désormais plus la seule à me le dire. Moi, ça m'importait peu car je n'avais jamais eu de problèmes avec mon physique, mais je voyais que le regard des gens, surtout des garçons, avait changé, il y avait cette étincelle dans leur yeux, cette envie d'avoir plus que ce que je désirais leur offrir. Je n'étais pas prête à aimer, pas prête à choisir celui qui deviendrait plus qu'un ami, je ne voulais pas faire de la peine, et je savais que dans tout les cas, en choisissant ou en décidant de ne rien faire, j'allais les rendre triste. J'étais complétement démunie, et avait décidé d'en faire part à ma mère, qui avait toujours été de bon conseils à mon égard, et elle ne s'était une fois de plus pas trompée dans ses paroles:
"Suis ton coeur ma chérie, c'est lui qui te guidera"
J'avais donc suivit mon coeur, et avais décidé de n'en choisir aucun. Je les aimai tous à leur maniere, mais je n'étais pas amoureuses d'eux. Je ne savais pas ce qu'était l'amour que l'on pouvait éprouvait pour un homme, j'étais encore trop jeune pour ça. C'est lorsque j'atteins mes quinze ans que je le rencontrais, il était grand, brun aux yeux verts, et il s'appelait Jerome. Il était nouveau dans mon collége et j'étais tombée raide dingue amoureuse de lui, je savais enfin ce que ça faisait, l'amour, et ça me rendait totalement malade. Oui, j'étais malade de le voir en compagnie d'autres filles, de ne pas oser l'approcher et de ne pas être sa petite amie. Mais je finis tout de même par le devenir. Jerome et moi étions invité à la même fête organisée par un ami commun, sans savoir pourquoi, il s'était rapproché de moi et m'avait demandé de danser avec lui. Nou avions dansé, toute la nuit, et il m'avait demandé d'être sa petite amie, ce que j'avais accepté. Je l'aimais, comme une folle, notre histoire a duré 5 mois, 5 mois durant lesquels j'étais la fille la plus heureuse du monde. J'avais même présenté Jerome à ma maman, qui l'avait beaucoup apprécié. Mais Jerome avait un an de plus que moi, et je sentais qu'il désirait plus que de simples baisers. Je ne pouvais cependant accepter, je n'étais pas prête à me donner à lui, pas prête à sauter le pas. Il m'a quitté du jour au lendemain, par texto:
"Tenessee, je te quittes, tu es incapables de coucher avec moi, ça veut dire que tu ne m'aimes pas assez pour ça. J'ai trouvé une fille bien mieux que toi et qui elle n'a pas hésité une seconde à le faire, comme quoi c'est pas bien difficle de tourner la page, ciao!"
J'étais complétement démunie, mon Jerome, celui que j'avais tant aimé... Je restais plusieurs jours à pleurer sa perte, ma mére avait pris des jours de congé pour me consoler en vain, elle avait décidé de m'emmenner voir un docteur, un psychiatre, mais elle préférait l'appeler le docteur du coeur, pour que je me confies à lui et qu'il trouves une solution à ma peine.
Je mis des mois à me confier à lui, et à guérir de cette maladie d'amour donc j'étais atteinte. Mais j'avais bien avancée, et ma mère avait sut me donner un nouveau conseil, dont je me souviendrait toute ma vie:
"Ma chérie, ne regrettes jamais ce qui s'est passé avec ce garçon, dis toi que c'est une bonne chose ce qui est arrivé, car tu t'es rendue compte assez tôt que ce garçon n'était pas fais pour toi, et qu'il ne te méritait pas. Aujourd'hui tu peux te dires qu'il te reste devant toi que le meilleur à venir, car tu as passé le pire"
J'avais retrouvé le sourire, et ma joie de vivre. Jerome c'était de l'histoire ancienne, puisque maman avait trouvé un emplois mieux payé dans une nouvelle ville, et que nous avions déménagés. Cette ville s'appelait Lima, comme la capitale du Péru, sauf qu'elle se situait dans l'Ohio. J'étais contente, même si ça allait beaucoup me changer de New-York ,j'allais pouvoir changer de vue et recommencer ma vie de bon pied. Nous avions emménagé dans un appartement un peu plus grand et plus joli, il se situait proche de mon nouveau lycée, McKinley. J'avais fais ma rentrée quelques jours plus tard, en milieu d'année. Je m'étais très vite intégrée, car j'avais continué de suivre les conseils de ma mère qui était d'être gentille et douce envers les autres, et de ne jamais se laisser abattre. J'ai passé deux merveilleuse année à McKinley, mais le plus bel été allait arriver...
Je n'étais pas ressortie avec un garçon depuis l'histoire Jerome, mon petit coeur était encore fragile et je ne voulais pas revivre l'expérience. Je privilégiais donc mes amis, et sortais souvent avec eux en ville pendant l'été. Ce jour-là j'avais rendez-vous avec les filles au Breadstick, mais j'avais pris un peu de retard, je me dépêchais donc de les rejoindre en les prévenant que je partais tout juste de chez moi. Pendant que je marchais dans la rue, un homme qui courait m'a percuté et je suis tombé à la renverse, me faisant très mal à la tête, l'homme n'avait pas pris la peine de s'excuser ni même de se retourner, en revanche un garçon avait courut jusqu'à moi après avoir vu la scène. Il s'était agenouillée au près de moi, l'air très inquiet, et m'avait adressé la parole. Je me souviendrais toujours de l'effet qu'avait eu sa voix sur moi, elle était si douce, et belle. Je savais rien qu'en l'entendais que ce jeune homme était d'une bonté incomparable aux autres.
"Vous allez bien mademoiselle? Cette homme ne vous a pas fait trop mal? Vous avez besoin d'aide pour vous relever."
Je lui avais souris, et nous avions parlé un peu, j'avais prévenu mes amies que je ne viendrais finalement pas, et était allée boire un coup avec ce jeune homme. Il s'appelait Zolian, et avait mon âge, il venait d'arriver à Lima et entrait à McKinley l'année suivante. Nous avons parler de tout et de rien, je lui avais même parler de Jerome, une première pour moi, et il avait compatis avec mon ancienne douleur. Je lui avais dis que c'était du passé tout ça et que le meilleur était à venir, ce à quoi il avait sourit.
"J'aime beaucoup ta façon de penser et de voir les choses, j'ai l'impression de regarder le monde d'une autre manière lorsque je t'écoute parler, et c'est fantastique."
Je n'avais put m’empêcher de sourire, après lui avoir longuement parlé de mes amours, je lui demandais d'en faire de même.
"Tu sais, je n'ai pas été beaucoup plus chanceuse que toi. Les filles tournent tout le temps autour de moi, mais c'est toujours dans leur intérêt. Je suis sortie avec une fille qui se servait de moi pour être populaire. Je n'aime pas trop parler de cette histoire parce que ça donne l'impression que je suis un peu vantard, ce que je ne suis absolument pas."
Je fis non de la tête, et j'approuvais quand il disait qu'il n'était pas un vantard. Ca se voyait bien, c'était un homme simple qui ne se compliquait pas trop la vie. Il avait le sourire facile, et on voyait qu'il était heureux d'être avec moi. Parfois, je me disais qu'il me ressemblait beaucoup, pas seulement à cause de nos amours peu fructifs, mais aussi par rapport à nos liens avec nos parents respectifs, à notre facilité à nous lier d'amitié avec les autres... Après plusieurs verres de soda, nous avions conclus qu'il était temps de nous quitter. ON avait échangés nos numéros, et s'étaient promis de se recontacter très bientôt.
Après cette rencontre, je ne faisais que penser à Zolian, à son regard, sa voix... Tout en lui me charmait, mais j'avais peur de me tromper une fois de plus sur le sort de quelqu'un, et d'être blessée comme avec Jerome. J'essayai donc de l'oublier, en vain, j'attendais son message avec patience. Je n'avais plus de nouvelles de lui depuis trois jours, je n'avais pas voulut le contacter moi, car j'avais peur de passer pour une fille accro, alors j'attendais, encore et encore. Le quatrième jour, mon portable vibra, et afficha pour la première fois son prénom, Zolian. "Salut, désolé de ne pas avoir pris de tes nouvelles plus tôt, j'attendais d'avoir le temps de t'appeler car je trouves ça plus convivial, et finalement je n'ai pas résisté à t'envoyer ce message. Juste pour te dire que je ne fais que penser à notre rencontre, et que j'aimerais vraiment te revoir, cet après-midi si tu es libre? On pourrait aller au cinéma et bien sur, c'est moi qui invite et toi qui choisi le film. Enfin, comme tu le veux, bisous."
J'avais sauté de joie, je n'en revenais pas. Je répondais rapidement à son message, et on se voyait quelques heures plus tard, devant une comédie. Après le cinéma, il m'avait raccompagné chez moi, et j'avais décidé de le présenter à ma mère. Zolian avait accepté volontiers, mais il m'avait dit que d'abord, pour ça, il fallait qu'il fasse quelque chose. Il me prit dans ses bras et n’embrassa tendrement. Mon coeur explosa de bonheur, je n'avais jamais ressentit ça avant, même avec Jerome, tout était différent.
"Voila, maintenant qu'on est ensemble, je suis prêt à rencontrer ta mère."
Maman était ravie de voir Zolian, elle s'était un peu méfié de lui, après ce qui m'étais arrivé avec Jerome, mais en voyant mon bonheur, elle lui avait juste dit de faire attention à moi, et il lui avait promis qu'il ne me ferait jamais de mal. On avait passé une très bonne soirée, une des meilleures de ma vie. Depuis, je suis toujours avec Zolian, il est entré dans mon lycée et nous sommes devenus inséparables, je l'aime plus que tout au monde, et cet amour et presque aussi fort que celui que je ressens pour ma maman. Je crois que c'est vraiment ça l'amour, et pas cette chose que je ressentais pour Jerome, non, ça c'était un amour qui n'était pas réciproque. Alors que Zolian me montrait chaque jour combien il m'aimait et tenait à moi. C A R A C T E R E
“ CITATION. Mon caractére? Ma mère a tout fait pour bien m'éduquer et je pense qu'elle a réussit. Je suis très gentille, même avec les gens qui ne le sont pas. Je suis toujours de bonne humeur, et j'ai le rire facile. J'aime m'amuser, faire de nouvelles connaissances et surtout prendre des photos. Etre photographe, c'est mon rêve, j'adore capturer les moments, car la mémoire s'efface, et les photos sont là pour raviver les souvenirs. Sinon je suis une fille simple, j'aime les petites choses de la vie, et je ne suis pas compliquée. | I N T R O D U C T I O N “ Pseudo/ Prénom : Lucie“ Âge : 17 ans“ Sexe : Inconnu“ Où as-tu découvert le forum : Dans sa boite d'emballage“ Qu'en pense-tu : Il est prometteur“ Suggestion : Plus de smarties |
Dernière édition par Tenessee D. Jordan le Dim 7 Aoû - 21:41, édité 2 fois |
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